Située sur une route secondaire panoramique, Havre à Madeleine est une charmante maison à un étage confortable et lumineuse avec vue 150 degrés sur la Baie de Plaisance et l'Île d'Entrée. L'étage avec plancher de bois franc est complété par un demi sous-sol bien éclairé et ventilé, avec plancher en tuiles de céramique. L'aménagement est simple et moderne. Le mobilier et les équipement de belle qualité ont été choisis pour le confort et la détente. Deux grands patios invitent à la détente à l'extérieur quelle que soit la direction du vent. La maison se trouve à distance de marche du site historique de la Grave et à quelques minutes de la plage du Bout du Banc. CITQ: #131493
370, chemin d'en haut
Havre-Aubert, G4T 9A8
(Québec, Canada)
Nb. de personne max : 6
Nombre de chambre (Rez-de-chaussée) : 1
Nombre de chambre (Sous-sol) : 2
Située sur une route secondaire panoramique, Havre à Madeleine est une charmante maison à un étage confortable et lumineuse avec vue 150 degrés sur la Baie de Plaisance et l'Île d'Entrée. L'étage avec plancher de bois franc est complété par un demi sous-sol bien éclairé et ventilé, avec plancher en tuiles de céramique. L'aménagement est simple et moderne. Le mobilier et les équipement de belle qualité ont été choisis pour le confort et la détente. Deux grands patios invitent à la détente à l'extérieur quelle que soit la direction du vent. La maison se trouve à distance de marche du site historique de la Grave et à quelques minutes de la plage du Boût du Banc.
Prix: ( à partir de / pour 6 personnes )
155 $
En basse saison
|
220 $ en moyenne saison
350 $ en haute saison
Prix: ( à partir de / pour 6 personnes )
999 $
En basse saison
|
1450 $ en moyenne saison
2400 $ en haute saison
Du 18 juin 2025 au 7 septembre 2025
Du 1 mai 2025 au 17 juin 2025
Du 8 septembre 2025 au 4 octobre 2025
Du 5 octobre 2025 au 2 décembre 2025 Fermer
Advenant que l'établissement ait sa propre politique de dépôt et d'annulation, cette dernière sera appliquée.
Si l'établissement ne possède aucune politique de dépôt et d'annulation, l'hébergement s'engage à respecter les conditions suivantes :
Tous dépôts et paiement final seront non-remboursables ou sujet à un crédit voyage, le cas échéant, par l'établissement si la force majeure résulte de la pandémie du COVID-19, ALORS QUE la réservation est intervenue après le 13 mars 2020, date où le gouvernement du Québec a décrété l'état d'urgence sanitaire en lien avec la pandémie.
Le client ayant fait une réservation après le 13 mars 2020 admet l'avoir fait en toute connaissance de cause de la pandémie et de ses conséquences possibles à plus long terme.
Le client comprend et accepte ainsi les risques reliés à la pandémie et l'application de la présente clause concernant l'annulation et le non remboursement de sa réservation qui peut être sujet à un crédit voyage, le cas échéant, par l'établissement.
Sont réputés des cas de force majeure, tout événement imprévisible et irrésistible échappant au contrôle et à la volonté d'une partie au présent contrat, contre lequel celle-ci ne peut pas se protéger ou se prémunir. Cela comprend, notamment, mais non limitativement, la survenance de l'un des événements suivants : tout sinistre provoqué parla nature, un incendie ou une explosion, l'absence de service d'utilité publique (panne de lignes de télécommunications ou d'électricité), l'absence de moyens de transport maritime ou aérien, une révolution, une émeute, une guerre (qu'elle soit déclarée ou non), une insurrection, un acte de terrorisme, une épidémie ou une pandémie, dont le COVID-19, un embargo, un lock-out ou une grève ou tout autre conflit de travail, des interventions par les forces armées militaires ou civiles, ou obéissance à un acte du gouvernement ou à une ordonnance d'un tribunal ou d'une autorité publique.
À l'exception spécifique des obligations de paiement, une partie n'est pas considérée en défaut de ses obligations et n'est pas responsable des dommages ou délais si ces défauts, dommages ou délais découlent d'un cas de force majeure.
Si un cas de force majeure se produit, la partie incapable d'exécuter ses obligations au présent contrat, doit, lorsque possible, prendre les mesures requises pour faire cesser ce cas de force majeure ou, à défaut de pouvoir se faire, pour atténuer son impact.
La partie créancière de l'obligation impossible à exécuter en raison d'un tel cas de force majeure peut, à sa seule discrétion, soit mettre fin au contrat, soit le suspendre en entier ou en partie pendant la durée du cas de force majeure.
Bien que les délais d'exécution soient de rigueur, l'établissement ne sera toutefois pas tenu responsable pour des dommages causés par le défaut d'exécuter ses obligations aux termes du présent contrat, en totalité ou en partie, lorsque ce défaut est attribuable à un cas de force majeure, et non en raison de sa faute ou encore de sa négligence.
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