Le Centre nautique de l'Istorlet est un centre de vacances incorporé depuis 1973, à Havre-Aubert, aux Îles-de-la-Madeleine. Cette entreprise d'économie sociale (OBNL), reconnue par Tourisme Québec, offre une impressionnante gamme d'activités nautiques, des forfaits sur mesure, des camps pour jeunes ainsi que différents types d'hébergement. L'Istorlet propose plusieurs activités pour toute la famille. La plus populaire est la visite des grottes et des falaises en kayak de mer. Des cours de voile sont également offerts, de niveau débutant à expert, dans la baie sécuritaire « Le Bassin » : Planche à voile, Wing, Caravelle, Laser et Optimist. Pour les initiés, il est possible de louer ces embarcations. De plus, outre la voile, il est possible de louer : stand up paddle (SUP - planche à pagaie), canot, kayak de surf, rabaska et vélo. Les jeunes (7 à 14 ans) peuvent également profiter des nombreuses activités nautiques offertes au Centre en participant à des camps de jour (fin juin à mi-août). Certifié par l'Association des Camps du Québec (ACQ), l'Istorlet évolue dans un environnement stimulant, tout en offrant un encadrement sécuritaire, pour des souvenirs qui dureront toute la vie !
100, chemin de l'Istorlet
Havre-Aubert, G4T 9E5
(Québec, Canada)
Téléphone : 418 937-5266
Sans frais : 1 888 937-8166
Nb. de personne max : 4
Dans un boisé de conifères 2 lits superposés (4 personnes) ou 1 lit double et 1 lit superposés (4 personnes) ou 1 lit double et 1 lit de 30' (3 personnes), selon les disponibilités Literie Petite table de chevet + Tiroir Électricité et chauffage
Nb. de personne max : 3
Avec vue sur la baie Le Bassin Literie Bureau et penderie Salle d'eau Serviettes de bain Électricité et chauffage
Prix: ( à partir de / en occupation simple )
75 $
En basse saison
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75 $ en moyenne saison
75 $ en haute saison
Prix: ( à partir de / en occupation simple )
525 $
En basse saison
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525 $ en moyenne saison
525 $ en haute saison
Du 1 juillet 2025 au 24 août 2025
Du 25 août 2025 au 30 septembre 2025
Du 15 mai 2025 au 30 juin 2025 Fermer
Tous dépôts et paiement final seront non-remboursables ou sujet à un crédit voyage, le cas échéant, par l'établissement si la force majeure résulte de la pandémie du COVID-19, ALORS QUE la réservation est intervenue après le 13 mars 2020, date où le gouvernement du Québec a décrété l'état d'urgence sanitaire en lien avec la pandémie.
Le client ayant fait une réservation après le 13 mars 2020 admet l'avoir fait en toute connaissance de cause de la pandémie et de ses conséquences possibles à plus long terme.
Le client comprend et accepte ainsi les risques reliés à la pandémie et l'application de la présente clause concernant l'annulation et le non remboursement de sa réservation qui peut être sujet à un crédit voyage, le cas échéant, par l'établissement.
Sont réputés des cas de force majeure, tout événement imprévisible et irrésistible échappant au contrôle et à la volonté d'une partie au présent contrat, contre lequel celle-ci ne peut pas se protéger ou se prémunir. Cela comprend, notamment, mais non limitativement, la survenance de l'un des événements suivants : tout sinistre provoqué parla nature, un incendie ou une explosion, l'absence de service d'utilité publique (panne de lignes de télécommunications ou d'électricité), l'absence de moyens de transport maritime ou aérien, une révolution, une émeute, une guerre (qu'elle soit déclarée ou non), une insurrection, un acte de terrorisme, une épidémie ou une pandémie, dont le COVID-19, un embargo, un lock-out ou une grève ou tout autre conflit de travail, des interventions par les forces armées militaires ou civiles, ou obéissance à un acte du gouvernement ou à une ordonnance d'un tribunal ou d'une autorité publique.
À l'exception spécifique des obligations de paiement, une partie n'est pas considérée en défaut de ses obligations et n'est pas responsable des dommages ou délais si ces défauts, dommages ou délais découlent d'un cas de force majeure.
Si un cas de force majeure se produit, la partie incapable d'exécuter ses obligations au présent contrat, doit, lorsque possible, prendre les mesures requises pour faire cesser ce cas de force majeure ou, à défaut de pouvoir se faire, pour atténuer son impact.
La partie créancière de l'obligation impossible à exécuter en raison d'un tel cas de force majeure peut, à sa seule discrétion, soit mettre fin au contrat, soit le suspendre en entier ou en partie pendant la durée du cas de force majeure.
Bien que les délais d'exécution soient de rigueur, l'établissement ne sera toutefois pas tenu responsable pour des dommages causés par le défaut d'exécuter ses obligations aux termes du présent contrat, en totalité ou en partie, lorsque ce défaut est attribuable à un cas de force majeure, et non en raison de sa faute ou encore de sa négligence.
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